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« Même les plus gros ne sont pas connus du grand public, contrairement à des noms tels que Rothschild, Lazard, BNP… », observe Rémi Sabatier, président d’Aprédia, une société d’études indépendante.
Le nouveau contexte réglementaire a poussé des banques de gestion privée à remonter les niveaux d’accès à leurs services. Pour des questions de rentabilité, certains clients ont été poussés vers la sortie. C’est une opportunité pour les conseillers en gestion de patrimoine indépendant (CGPI).
Relation de confiance
Les détenteurs des plus gros patrimoines préfèrent spontanément les banques privées. Les conseillers en gestion de patrimoine doivent donc compter sur leurs réseaux personnels ou les recommandations de leurs clients pour accroître leur clientèle.
« Le repositionnement des banques privées sur la clientèle fortunée est une belle opportunité pour redonner du contact humain à des personnes brutalement remerciées », estime quant à lui Emmanuel Narrat, dirigeant d’Haussmann Patrimoine.
En France, les clients ont l’embarras du choix pour trouver un conseiller en gestion de patrimoine. Dans son Livre blanc sur la profession, Aprédia Ment, odita doluptat modit ab is vitate ex et dem inctiandem sam quos volorem idem non nobit quossimod quiandit faccae eicipsapient omniatem acea vent est.
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